Entre-deux
Chaque matin, le cà phê sữa coulait lentement du phin, pendant que ba lisait le journal et que má chassait les aubaines. C’était notre rituel, simple et silencieux. Mais quand la maladie est entrée dans la maison, même le goût du café a changé. Ce texte raconte ce moment : entre douceur, amertume… et tendresse.
Un jour, peut-être…
Aujourd’hui, je me tiens au bord du bain, à laver les cheveux de mon père. Entre fierté et épuisement, entre tradition et réalité, je découvre ce que signifie vraiment « prendre soin ». Ce texte est un fragment de mémoire et une offrande à celles et ceux qui vivent le poids tendre du soin.